Monday, December 26, 2005

Tu me trompes, je me trompe ?

Cette phrase comme un tonnerre pour ouvrir les débats sur la femme, les femmes, créatures pétillantes, sexy, sensuelles, qui envahissent nos yeux de rêves sans que l’on ne demande rien.

La vue publique de leurs lingeries, de leurs formes exposées, de leurs jambes qui inspirent le désir…pour rien... Une gifle des yeux lorsque l'on regarde le string brillant d'étincelles qui dépasse de leur jean.

Un pied dehors, dans la rue et c’est le sexe montré comme une philosophie, un cirque, une parodie des temps modernes pour mieux remplir l’incertitude qui les animent : Femmes mères, amantes, p..., s....…femmes de tête et d’esprit, femmes ambitieuses, femmes routinières ? Au fond quelle importance ?

Petites academy stars mécaniques d'un soir qui brillent de rien au bras des hommes dont elles inventent la profondeur onirique au moment qui les arrangent, pour mieux assouvir leurs rêves édictés depuis le papier craquant des romans de poche aux pressions familiales répétées.

Femmes merveilleuses illuminées en Dior, Chanel ou Gucci pour encore cacher le vide en dessous. Celui de n'être que femme pour séduire le jour et la nuit des mirages d'hommes préfabriqués dans leur imaginaire.

Des images d'homme que nous ne sommes pas.

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